Le terme “Multimédia”, inventé par Bob Goldstein (États-Unis) en 1966, l’année de ma naissance, s’est développer conjointement avec l’informatique et le Web dans les années 80 (source: Wikipedia). Tombé en désuétude, aujourd’hui, il n’est plus utilisé que par des vieux dans le domaine artistique. En effet, quoi de plus normal que d’avoir des images et du son sur nos appareils connectés actuels. Et pourtant … Internet n’a été conçu que pour véhiculer du texte, à la base. Longtemps, il valait faire des contorsions et installer des plugins pour bénéficier du “multimédia”. Heureusement, le HTML5 a changé tout ça.
Le premier “média” a être ajouté au Web, l’image, est aujourd’hui encore le meilleur ajout possible à du simple texte.
L’humain aime ce qui va vite. L’informatique et internet nous rapprochent clairement de cette illusion qu’est l’instantanéité. Alors, les médias qui “impose” un temps de lecture, comme le son et la vidéo, ont forcement un désavantage face à une illustration que l’on capte presque instantanément. Et même quand l’accès à ces médias est devenu beaucoup plus facile, comme dans les réseaux sociaux, où il est très facile d’ajouter une vidéo, les publications accompagnées d’une simple image sont toujours plus populaires, et de loin.
La contradiction fondamentale avec l’utilisation d’images sur Internet réside dans le fait qu’il faut beaucoup de pixels pour avoir les détails et la richesse d’une “belle image”, mais que cela constitue beaucoup d’information qu’il faut télécharger et c’est une barrière, car cela prend du temps. Bien sur, avec le temps, les améliorations des algorithmes de compression ont facilité les choses, mais le “poids” des images est toujours quelque chose qu’il ne faut pas négliger.
Par contre, maintenant que les images ne sont pratiquement plus imprimées, la notion de “définition” est devenue obsolète. Si une image est seulement destinée à être publiée sur le Web, seul le nombre de pixels compte.
Voyons alors dans la pratique comment utiliser des images.
Premièrement, les images informatiques sont des fichiers comme les autres, et vous devez donc les gérer comme tels. L’important est de savoir les reconnaître, car il existe beaucoup de formats différents. Votre système d’exploitation devrait vous aider à ce niveau, mais il est recommandé d’avoir un minimum de notions de ces possibilités.
En ce qui concerne purement Internet, il faut retenir les trois formats principaux que sont le GIF, le JPEG (.jpg) et le PNG. En fait, il s’agit de trois méthode de compression dont les caractéristiques déterminent leur usage. Détaillons les.
Le GIF, le plus ancien, se base sur une palette d’un maximum de 256 couleurs. Il permet la transparence et de faire des images animées. Il est recommandé pour les petites images, avec peu de couleurs (comme du texte) ou pour faire animations lues par tous facilement et relativement lègéres.
Le JPEG (.jpg), un peu vieux maintenant, permet seulement d’avoir un contrôle sur le taux de compression de l’image, mais qui fait apparaître des déformations pour les taux les plus élevés. Ce format est recommandé pour les photos riches en nuances.
Le PNG, le plus récent, est très complet : il permet la transparence, l’usage de palettes ou une compression à taux fixe mais sans déformation apparentes. C’est (presque) le format idéal pour ceux qui ne veulent pas se poser de question.
Pour se familiariser avec tout ça, vous disposez de tonnes de ressources sur Internet, du plus simple (tutos et logiciels pour débutant) au plus sophistiqué (collection de brosses pour PhotoShop). Vous savez maintenant l’importance d’ajouter des images à vos publications ; alors, regardez ce que font les autres et lancez vous !
P.S. : Les images sur Internet, comme toute œuvre de l’esprit quelque soit le support, sont soumises aux lois sur les droits d’auteur (entre autres).
Le premier “média” a être ajouté au Web, l’image, est aujourd’hui encore le meilleur ajout possible à du simple texte.
L’humain aime ce qui va vite. L’informatique et internet nous rapprochent clairement de cette illusion qu’est l’instantanéité. Alors, les médias qui “impose” un temps de lecture, comme le son et la vidéo, ont forcement un désavantage face à une illustration que l’on capte presque instantanément. Et même quand l’accès à ces médias est devenu beaucoup plus facile, comme dans les réseaux sociaux, où il est très facile d’ajouter une vidéo, les publications accompagnées d’une simple image sont toujours plus populaires, et de loin.
La contradiction fondamentale avec l’utilisation d’images sur Internet réside dans le fait qu’il faut beaucoup de pixels pour avoir les détails et la richesse d’une “belle image”, mais que cela constitue beaucoup d’information qu’il faut télécharger et c’est une barrière, car cela prend du temps. Bien sur, avec le temps, les améliorations des algorithmes de compression ont facilité les choses, mais le “poids” des images est toujours quelque chose qu’il ne faut pas négliger.
Par contre, maintenant que les images ne sont pratiquement plus imprimées, la notion de “définition” est devenue obsolète. Si une image est seulement destinée à être publiée sur le Web, seul le nombre de pixels compte.
Voyons alors dans la pratique comment utiliser des images.
Premièrement, les images informatiques sont des fichiers comme les autres, et vous devez donc les gérer comme tels. L’important est de savoir les reconnaître, car il existe beaucoup de formats différents. Votre système d’exploitation devrait vous aider à ce niveau, mais il est recommandé d’avoir un minimum de notions de ces possibilités.
En ce qui concerne purement Internet, il faut retenir les trois formats principaux que sont le GIF, le JPEG (.jpg) et le PNG. En fait, il s’agit de trois méthode de compression dont les caractéristiques déterminent leur usage. Détaillons les.
Le GIF, le plus ancien, se base sur une palette d’un maximum de 256 couleurs. Il permet la transparence et de faire des images animées. Il est recommandé pour les petites images, avec peu de couleurs (comme du texte) ou pour faire animations lues par tous facilement et relativement lègéres.
Le JPEG (.jpg), un peu vieux maintenant, permet seulement d’avoir un contrôle sur le taux de compression de l’image, mais qui fait apparaître des déformations pour les taux les plus élevés. Ce format est recommandé pour les photos riches en nuances.
Le PNG, le plus récent, est très complet : il permet la transparence, l’usage de palettes ou une compression à taux fixe mais sans déformation apparentes. C’est (presque) le format idéal pour ceux qui ne veulent pas se poser de question.
Pour se familiariser avec tout ça, vous disposez de tonnes de ressources sur Internet, du plus simple (tutos et logiciels pour débutant) au plus sophistiqué (collection de brosses pour PhotoShop). Vous savez maintenant l’importance d’ajouter des images à vos publications ; alors, regardez ce que font les autres et lancez vous !
P.S. : Les images sur Internet, comme toute œuvre de l’esprit quelque soit le support, sont soumises aux lois sur les droits d’auteur (entre autres).
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